À l’exemple de plusieurs villes en France et même dans le monde, Feurs aura sa course en couleurs. Elle se déroulera sur l’hippodrome le jeudi 14 juillet.
À l’exemple de plusieurs villes en France et même dans le monde, Feurs aura sa course en couleurs. Pour souligner la fête nationale, elle se déroulera sur l’hippodrome le jeudi 14 juillet. « Le but est de créer plusieurs jours de festivités en plein été. La veille au soir, nous aurons déjà le dixième concert du Scoop music tour qui revient après deux années d’absence dues au Covid-19. Et le lendemain donc, cette course qui se déroulera sans esprit compétitif aucun », détaille Hervé Maitre, du cabinet du maire.
Il sera demandé aux participants d’être vêtus de blanc et ils seront aspergés tout au long du parcours de poudre écologique de couleurs rouge et bleue (en majorité) en rapport à nos trois couleurs nationales. Le parcours sera tracé dans l’enceinte de l’hippodrome et aussi dans le jardin public voisin.
Hervé Maitre et le président Christophe Masson ont battu le rappel des 30 adhérents du Comité des fêtes pour encadrer cette manifestation pour laquelle sont attendues plusieurs centaines de personnes. Les départs se feront par vagues avec une animation au départ sur un podium, dont un échauffement en musique évidemment avec un DJ.
Un nom qui reste à trouver
« Nous allons demander l’appui des associations locales dont déjà une, La Foulée Forézienne, nous apporte son appui. Le but est aussi de permettre de faire se côtoyer les différentes associations foréziennes autour du Comité des fêtes dans un esprit festif. Tout le monde pourra participer avec une inscription préalable à partir de 15 ans. »
Il reste donc encore beaucoup de pain sur la planche pour les organisateurs, à commencer par trouver un nom porteur pour cet événement. Ensuite, il faudra aussi côtoyer les installations du concert de la veille qui n’auront pas été démontées, jour férié oblige. Quant au Scoop music tour lui-même, il faut trouver 200 bénévoles pour en assurer le déroulement. Pas simple là non plus...
Jean-Michel Daffaud